Le ChallengeAZ est fini depuis une semaine et, avec Sylvie, nous sommes ravis de l'avoir mené jusqu'au bout. C'est notre quatrième en duo et mon huitième en tout. C'est le moment de jeter un petit coup d’œil dans le rétroviseur ! Comme pour les autres challenges, les textes de 2022 ont été compilés dans une... Lire la Suite →
Z comme Zoom sur les mines : qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
À bicyclette... Après des visites aux Archives départementales des Deux-Sèvres, à la mairie de Saint-Laurs et afin de compléter la préparation du challenge, nous sommes partis à vélo sur les traces des mineurs à Saint-Laurs et au centre minier de Faymoreau. Nous avons commencé par Faymoreau, commune située en Vendée, à quelques kilomètres de Saint-Laurs... Lire la Suite →
Y comme Y’a un forgeron à la mine
Lors de recensement de 1872, Julien Taubant a 54 ans, il vit au puits Saint-Claire avec son épouse Victoire Richard, 55 ans, et une fille de 24 ans, Astasie. Il y est forgeron. Le couple est originaire de Loire-Inférieure. Julien est né à La Chapelle-Saint-Sauveur et Victoire à Varades, deux villages voisins. Nous sommes dans... Lire la Suite →
X comme né sous X
En 1872, Jacques Félix-Alexandre, ouvrier mineur de 42 ans, vit aux Landes de Saint-Laurs avec son épouse Louise Bonneaud, 37 ans et 6 enfants de 5 à 18 ans. Avec eux, vit aussi une nièce de l’épouse, une enfant de 2 ans qui vient de l’hospice. Avec un tel nom, Jacques Félix-Alexandre est sans surprise... Lire la Suite →
W comme Wagons et machines
Au recensement de 1872, Henri Denis vit au puits Sainte-Marie avec son épouse Marie Faure et 2 filles de 13 et 10 ans : Angèle et Mathilde. Henri est mécanicien, c'est un grand voyageur et suivre son parcours n'est pas simple. Heureusement la naissance de ses enfants m’a permis de retrouver sa trace. Louis « Henri » Denis... Lire la Suite →
V comme Vendée
Sur le recensement de 1872, 18 mineurs sont notés originaires de Chantonnay en Vendée. Parmi eux, Anne Gatiniol, 47 ans, vit seule à Bégrolles avec sa fille Louise Pajeaud, 21 ans. Elle est alors journalière, c'est la veuve d'un mineur. Chantonnay est un des lieux pourvoyeur de main d’œuvre pour la mine de Saint-Laurs. Là-bas,... Lire la Suite →
U comme Un petit tour au bistrot
Les anciens racontaient qu’il y avait autant de bistrots que de puits dans la petite cité minière de Faymoreau en Vendée, voisine de Saint-Laurs. Mon beau-père pour sa part disait qu’à Saint-Laurs autrefois il y en avait une dizaine pour une population de 1300 habitants environ à son maximum en 1906. Peut-être exagérait-il. Quoi qu’il... Lire la Suite →
T comme Train
Pierre Chapeau a 44 ans en 1872, il est chef d’équipe au chemin de fer. Le recensement m’indique qu’il vit au puits Sainte-Marie avec sa jeune épouse, Julie Baillet, 26 ans, ainsi que 2 enfants de 13 et 7 ans, Perrine et Pierre Chapeau. Sa belle-mère, Perrine Lainé, qui a 70 ans demeure avec la... Lire la Suite →
S comme Syndicat
En 1872 Jean Morisset, mon sosa 16, vit à la Geloterie, un hameau de Saint-Laurs, avec son épouse Augustine Vincent, il a 38 ans et son épouse 34. Le couple a 3 enfants, Augustine 11 ans, Auguste (mon arrière-grand-père) 10 ans et Victor 4 ans. À cette époque, Jean est mineur. Jean voit le jour... Lire la Suite →
R comme Religieuses
Il y aurait eu des religieuses employées par les Houillères ? Pas tout à fait mais presque ! Au recensement de 1872, à la Rampière de Saint-Laurs, le village où habitent de nombreuses familles de mineurs, je découvre les noms de 3 religieuses Madeleine Couturier 32 ans, Célina Rideau 27 ans et Marie Prat 22 ans dans... Lire la Suite →
Q comme Quai de gare
En 1872, André Toinsault qui a 39 ans vit avec son épouse Joséphine Perinelle âgée de 36 ans et 2 filles de 15 et 5 ans, Adélaïde et Marie, à la gare de Saint-Laurs. À cette date, seules 2 familles demeurent là, celle d’André Toisnault le chef de gare et celle de Jules Masson, le... Lire la Suite →
P comme Prêtre Benjamin Talbot
En 1872, le curé de Saint-Laurs s’appelle Benjamin Talbot. Il n’était bien sûr pas embauché par les mines mais dépendait du diocèse de Poitiers. Il n’empêche, au XIXe siècle à Saint-Laurs, les propriétaires des Houillères se préoccupaient de religion et les curés s'intéressaient aux mineurs puisqu'ils faisaient partie de leurs ouailles. Après la Révolution, dans... Lire la Suite →