En 1872 à Saint-Laurs, le recensement révèle qu’il y a 8 « nourrissons », tous venus de l’hospice de Niort, qui résident dans autant de familles. C'est le cas de Marie Sicault placée chez le mineur Jacques Richard et son épouse Modeste Ripaud. Ces nourrissons ne sont pas tous des bébés : leur âge s’échelonne de 3 mois... Lire la Suite →
M comme Mineur Médaillé Mitard François
Au recensement de 1872 de Saint-Laurs, on trouve beaucoup de mineurs recrutés loin de la commune ou de la proche Vendée. Pourtant, certains locaux ont fait ce nouveau métier dans la région. C’est le cas du chef mineur, François Mitard, 55 ans, qui habite le coron à proximité du puits Sainte-Clotilde avec son épouse et... Lire la Suite →
L comme Loin de l’Ardèche
Au recensement de 1872, Henri Perbos vit avec son épouse Marie Denis à Sainte-Marie, près d’un ancien puits de mine. Il a 30 ans, son épouse 21, et il est maître mineur. L’agent note qu’Henri est originaire d’Ardèche. Il est en effet né à Banne, un petit bourg minier d’Ardèche, le 22 mars 1843. Ses... Lire la Suite →
K comme les coups de Klaxon du machiniste
Louis Lardy, 39 ans, est machiniste à la mine sur le recensement de 1872. Il vit à La Caumaillère avec son épouse Fleurestine Pipet et leur fille de 13 ans Fleurence Lardy. Louis est le seul machiniste rattaché aux Houillières à habiter Saint-Laurs. Louis est originaire de Saint-Laurs. Ses parents sont des bordiers. Ils ont... Lire la Suite →
J comme Jacquelin Louis, commis
En 1872, Louis Jacquelin, 62 ans, habite à l’ancien puits Sainte-Marie avec sa femme Marie Lizé, 57 ans et sa fille Louise, 19 ans. Le chef de famille déclare être commis, une profession qu'il n'a pas toujours exercée aux Houillères de Saint-Laurs. Louis Jacquelin est né en 1810 à Chaudefonds-sur-Layon (Maine-et-Loire), il est un des... Lire la Suite →
I comme Ingénieur Joseph Briffaud
Au recensement de 1872, Joseph Briffaud déclare être ingénieur aux mines de Saint-Laurs. Pour occuper ce poste à responsabilités, on a fait appel à un homme venu du sud de la France et qui a su gravir un à un les échelons pour y parvenir. Joseph Briffaud est né à Alès (Gard) 41 ans plus... Lire la Suite →
H comme Huelgoat
Sur le recensement de 1872, on trouve plusieurs familles de mineurs venues de Bretagne. Si j’en crois l’agent recenseur, 11 personnes sont originaires du Finistère. Parmi elles, Michel Goasanvot et de son épouse Marie-Anne Le Gall. J'aurais pu évoquer aussi François Louis Leguyader et Françoise Collec, Charles Leham et Marie Ruau... Tous viennent de Huelgoat... Lire la Suite →
G comme Guignolet
En 1872, quand le recenseur de Saint-Laurs s’arrête à la maison n° 72 du village de la Rampière, il note que le chef de ménage s’appelle Maurice Guignolet, mineur de 58 ans. Il habite avec sa femme Marie Boudehan, 53 ans et leurs 2 filles, Anne 18 ans et Jeanne 14 ans, et tout ce... Lire la Suite →
F comme Formon Pierre, comptable
Dans l’organisation de la mine, il y a toujours eu un comptable assisté de commis. Avant 1872, Frédéric Labarre, Antoine Sicot, Amédée Schmitt ou Émile Cheminant avaient occupé ce poste. Au recensement de cette année, c’est Pierre Formon qui déclare occuper ce poste. Pour cette fois, c’est un garçon du terroir qui remplit cette fonction.... Lire la Suite →
E comme Enfant trouvé
En 1872, Louis Médard mineur chef de ménage veuf de 41 ans vit avec ses 2 enfants, Marie et Alcide âgés de 14 et 7 ans, ainsi que sa belle-mère, Marie Ragueneau, chaulière, également chef de ménage et veuve, âgée de 70 ans. Le recenseur nous révèle que Louis Médard est né à l’hospice. C’est... Lire la Suite →
D comme Directeur de la mine (et maire) Amédée Schmitt
En 1872, c’est Amédée-Alexandre Schmitt qui est le directeur des Houillères. L’année du recensement, il vit au « château » de la mine avec son épouse, Thérèse Moreau, leur fils de 11 ans, Amédée et sa mère, Aurélie Jalouzet. Marie Goasanvot, la fille d’un mineur, leur sert de domestique. Comme beaucoup de responsables de la mine, Schmitt... Lire la Suite →
C comme les Conjoints des filles Renoux
En 1872, Jeanne, Victoire, Marie et Françoise Renoux, les filles de mes ancêtres Jean Renoux et Marie-Jeanne Pizou, ont toutes les quatre épousé des garçons du village, qui travaillent au fond de la mine. Elles vivent pour trois d’entre elles au bourg de Saint-Laurs, alors que la dernière est installée avec son mari au puits... Lire la Suite →