Il arrive qu'une recherche sur un sosa rebondisse sur un autre ancêtre. Ce fut le cas en poursuivant mon enquête sur la famille NICOLAS et plus particulièrement sur Olivier NICOLAS, fils de Jean et de sa seconde épouse Madeleine MOCQUET. J'ai trouvé dans la bibliothèque Geneanet une notice concernant son union dans le Dictionnaire historique... Lire la Suite →
Du rififi à Parthenay
Le 28 décembre 1618, Charles de VIVONNE, baron de La Châtaigneraie, conseiller du roi Louis XIII et gouverneur pour sa majesté de la ville et château de Parthenay quitte en toute urgence sa résidence de La Châtaigneraie pour la ville de Parthenay suite à la requête de François de BREMONT, sieur de BALANZAC, lieutenant de... Lire la Suite →
Crime de rapt à Poitiers
Pour faire suite à mon article sur la famille NICOLAS, j'ai retrouvé grâce au fonds Merle, une autre minute notariale datant de 1657 et passée chez maître Bourceau, notaire à Parthenay. Elle m’a permis de nouvelles découvertes autour de mes familles NICOLAS et MOCQUET. Elle concerne Marthe NICOLAS, fille de Jean et Madeleine MOCQUET, mes... Lire la Suite →
Je pars…
Ce texte est paru initialement sur le blog Généa79 dans le cadre du ChallengeAZ sur les migrations. Parler de migration en partant de mon arbre généalogique n’est pas le sujet le plus facile. La quasi-totalité de mes ancêtres et collatéraux ont vécu dans un rayon de 30 km autour de Bressuire. Les très rares qui... Lire la Suite →
Les Nicolas, une famille de Parthenay
Lors d’une récente visite aux AD79 j’ai consulté une petite partie du fonds Merle. J’avais noté une cote il y a longtemps déjà, sans jamais l’avoir demandée en salle. Bien m’en a pris car ce fonds semble très riche et ce que j’ai consulté ce jour-là m’a apporté son lot de belles surprises ! Le docteur... Lire la Suite →
Un mariage réhabilité
Quand Nicolas Charrier et Françoise Riposseau se sont mariés le 11 février 1722 à Saint-Clémentin, comment auraient-ils pu se douter que cette union serait annulée quelques années plus tard ? Pourtant, ce jour-là, après la publication des trois bans, nul ne s’y était opposé. Il n’y avait certes plus beaucoup d’anciens encore vivants qui auraient pu... Lire la Suite →
Y comme Y’a un forgeron à la mine
Lors de recensement de 1872, Julien Taubant a 54 ans, il vit au puits Saint-Claire avec son épouse Victoire Richard, 55 ans, et une fille de 24 ans, Astasie. Il y est forgeron. Le couple est originaire de Loire-Inférieure. Julien est né à La Chapelle-Saint-Sauveur et Victoire à Varades, deux villages voisins. Nous sommes dans... Lire la Suite →
U comme Un petit tour au bistrot
Les anciens racontaient qu’il y avait autant de bistrots que de puits dans la petite cité minière de Faymoreau en Vendée, voisine de Saint-Laurs. Mon beau-père pour sa part disait qu’à Saint-Laurs autrefois il y en avait une dizaine pour une population de 1300 habitants environ à son maximum en 1906. Peut-être exagérait-il. Quoi qu’il... Lire la Suite →
R comme Religieuses
Il y aurait eu des religieuses employées par les Houillères ? Pas tout à fait mais presque ! Au recensement de 1872, à la Rampière de Saint-Laurs, le village où habitent de nombreuses familles de mineurs, je découvre les noms de 3 religieuses Madeleine Couturier 32 ans, Célina Rideau 27 ans et Marie Prat 22 ans dans... Lire la Suite →
P comme Prêtre Benjamin Talbot
En 1872, le curé de Saint-Laurs s’appelle Benjamin Talbot. Il n’était bien sûr pas embauché par les mines mais dépendait du diocèse de Poitiers. Il n’empêche, au XIXe siècle à Saint-Laurs, les propriétaires des Houillères se préoccupaient de religion et les curés s'intéressaient aux mineurs puisqu'ils faisaient partie de leurs ouailles. Après la Révolution, dans... Lire la Suite →
O comme Ouvrier mineur Louis Ragueneau
En 1872, Louis Ragueneau est un des nombreux mineurs qui habitent à la Rampière, le village de la commune de Saint-Laurs le plus proche des différents puits. Il a 37 ans et vit avec sa femme enceinte Claudine Chaléat, 37 ans également, et de ses 5 enfants âgés de 2 à 12 ans. Nous sommes... Lire la Suite →
N comme Nourrice et Nourisson
En 1872 à Saint-Laurs, le recensement révèle qu’il y a 8 « nourrissons », tous venus de l’hospice de Niort, qui résident dans autant de familles. C'est le cas de Marie Sicault placée chez le mineur Jacques Richard et son épouse Modeste Ripaud. Ces nourrissons ne sont pas tous des bébés : leur âge s’échelonne de 3 mois... Lire la Suite →